Chair de poule, tome 67 (# de l’édition Bayard) : La voiture hantée

Mitchell

Mitchell est passionné par les automobiles. Il a 232 modèles d’autos réduites de collection dans sa chambre ainsi que plusieurs affiches d’auto. Il aime aussi lire des tonnes de magazines sur les voitures et il aime dessiner des voitures.

Portrait familial

De son côté, son frère Todd, voit des fantômes partout. Il alerte Mitchell au moindre bruit suspect. Leur père, lui, aime bricoler des trucs, mais il n’est pas très doué dans ce domaine.

Problème de freins !

Un jour, tous les trois prennent l’auto pour aller à la quincaillerie. Soudainement, les freins de la vieille auto de leur père ne fonctionnent plus… Ils finissent par heurter un arbre.

La nouvelle voiture

Après l’accident, Mitchell est trop content parce que ce malheur signifie que son père va enfin accepter d’acheter une nouvelle voiture. Mitchell voit une superbe auto dans une annonce dans un journal. Il la montre à son père et celui-ci accepte d’aller jeter un coup d’œil.

Enfermée à double tour

Une fois là-bas, Mitchell voit quelque chose de bizarre. La voiture est dans le garage du vendeur et celui-ci l’a embarrée avec plein de cadenas. Le propriétaire semble avoir hâte de s’en débarrasser. Il leur vend l’auto à un prix très modeste.

Les portes barrées

Un soir, Mitchell a très envie de s’assoir dedans. Alors, il sort en cachette et monte dans le véhicule. Il touche le volant et admire la voiture. Il fait semblant qu’il la conduit. Cependant, quand vient le moment de sortir, il en est incapable. Les portes semblent s’être verrouillées toutes seules. Mitchell commence à paniquer et cherche le bouton pour débarrer les portes sans succès. Heureusement, une jeune et jolie voisine nommée Marissa lui ouvre la porte. Il peut enfin sortir.

Les essuie-glaces et le manuel

Mitchell et sa famille ne rencontrent pas de problème avec le véhicule jusqu’à… Un jour, Mitchell et son père sortent pour aller faire des courses. Il se met soudainement à pleuvoir à torrents. Le problème, c’est qu’ils ne trouvent pas le bouton pour activer les essuie-glaces. Ils cherchent donc le manuel d’instruction dans l’auto et finissent par comprendre qu’il n’y en a pas… Ils trouvent seulement un papier sur lequel il est écrit : « Je suis diabolique ».

Mes commentaires

C’était bien. Il y avait juste beaucoup de mots techniques sur les autos. C’était difficile à comprendre et à imaginer pour les gens comme moi qui ne connaissent pas grand-chose dans ce domaine. L’histoire était originale.

Source de l’image à la une : Livraddict.com